Adresse parisienne au carrefour des 8ème et 17ème arrondissements, LE CAMONDO s’est installé dans l’enceinte du musée éponyme, attenant aux jardins du parc Monceau.
Passé la porte, le large bar, élément central de la vie du lieu, s’impose comme une immense table d’hôtes et invite à des moments de partage. Comme suspendue au temps, cette ancienne remise aux voitures de l’hôtel particulier a conservé son plafond à caissons et ses colonnes métalliques qui structurent l’espace. Elle s’ouvre sur une cour pavée isolée du bruit, pensée comme un jardin secret, pour des déjeuners et dîners au soleil dès les premiers beaux jours. Un lieu chaleureux, une ambiance feutrée, un mélange de style et de matières, l’esprit d’un jardin d’hiver, presque comme une adresse confidentielle.
C’est la cheffe Fanny Herpin, originaire de Bordeaux, qui reprend le flambeau avec une cuisine gourmande et une carte renouvelée régulièrement.
61 bis, Rue de Monceau,
75008 PARIS

Tel : 01 45 63 40 40
Du Lundi au Samedi
De midi à minuit
LA CARTE
RESTAURANT – BAR – TERRASSE
Tous nos plats sont préparés par notre équipe de cuisine.
Une carte de produits de saison, renouvelée tous les mois.
EN IMAGES
DÉCOUVREZ LE CAMONDO
L’HISTOIRE ET LE MUSÉE NISSIM DE CAMONDO
Au début du XIXe, les Camondo ont fondé une banque qui devient l’une des plus importantes de l’Empire Ottoman. Venus à Paris à la fin du Second Empire, les frères Abraham-Behor et Nissim se fixent à Paris rue de Monceau.
A la génération suivante, les deux cousins Isaac et Moise deviennent des collectionneurs et des personnalités du monde de l’art.
Moïse se passionne exclusivement pour le XVIIIe siècle français. Pour présenter ses collections exceptionnelles (meubles, tableaux, tapis, tapisseries, porcelaines, orfèvrerie) , il fait construire par René Sergent en 1911 une demeure au confort moderne, inspirée du petit Trianon de Versailles.
Conçu pour accueillir ses collections, l’hôtel abrite aussi ses deux enfants Nissim et Béatrice qui vivent avec lui après le départ de sa femme Irène et leur divorce en 1902.
La première guerre mondiale éclate. Devenu aviateur, Nissim meurt pour la France lors d’un combat aérien en 1917. Cette disparition détermine Moïse à léguer cet ensemble unique à l’Etat français en souvenir de Nissim. Jusqu’à sa mort en 1935, le collectionneur se donne pour mission de parachever son œuvre de « reconstitution d’une demeure artistique du XVIIIe siècle».
EVENEMENTS ET PRIVATISATIONS
Réservations groupe, petits-déjeuners,
journées d’études, cocktails, afterworks,
soirées, événements, privatisations…
De 10 à 300 invités.
ou par téléphone
01 45 63 40 40
Possibilité d’événements couplés avec les espaces du Musée